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Les Chroniques Rebelles
27 février 2014

FEMEN

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Mouvement de lutte féminisme autoproclamé, le groupuscule Ukrainien FEMEN est l’objet de tous les fantasmes, et pas seulement ceux de Caroline Fourest, excitée devant la plastique, reconnaissons-le, parfaite d’Inna Chevchenko.

Non, si les FEMEN n’étaient qu’une déception amoureuse pour Fourest, qui rêvait d’une romance avec la leader du groupe malheureusement hétérosexuelle, les FEMEN ne seraient pas un problème.

Les soucis, c’est le combat des FEMEN en lui-même,  le féminisme, le féminisme c’est bien, c’est un combat juste et noble, qui s’appelle égalité des droits, quand il n’est pas transformé en caricature communautaire, mais là où le bât blesse, c’est que le combat des FEMEN n’est pas le Féminisme !!

Malgré leur discours, les FEMEN, ne se défendent pas contre une société machiste qui oppresse les femmes, les FEMEN ne se défendent pas contre d’affreux hommes aigris qui voient en leur émancipation la perte de leur virilité ou de leur suprématie, comment pourraient-elles se défendre de tous cela, de plus dans une société qui, reconnaissons-le aussi, est de plus en plus égalitaire et ou le Girl Power remplace progressivement l’ancien patriarcat,  non, de toutes façon les FEMEN ne se défendent pas, elles attaquent.

Et qui attaquent-elles ? Des groupes d’activistes machistes, des hordes de machos déferlant sur Paris en désir de ratonner une innocente jeune femme émancipée en pantalons ? Non, cela n’existe pas, alors qui sont les cibles des FEMEN, et bien, c’est l’Eglise.

L’Eglise qui n’as plus le pouvoir depuis longtemps et bien peu d’influence dans un pays laïc, l’Eglise catholique est la cible principale des FEMEN, vient ensuite l’Islam, qui n’est pas très attaqué, pas parce que elle est, pour les FEMEN, une religion meilleure, mais parce que les courageuses FEMEN savent bien, que si elles se permettaient de pénétrer dans une mosquée comme elles l’ont fait dans Notre Dame de Paris, c’est elles qui se seraient fait sonner les cloches et pas qu’un peu d’ailleurs.

Voilà, les cibles de ses courageuses FEMEN, ça et leurs besoins de donner leurs avis sur les politiques sociales et les politiques internationales ; derniers avis, oui au mariage gay, oui à la révolution ukrainienne, en gros à des choses qui n’ont rien à voir avec le combat féministes, j’attends-moi les guerrières FEMEN attaquer la marchandisation du corps de la femme et sa commercialisation provoqué par le modèle capitaliste et consumériste Américain, mais bon, je dois fantasmer, comme Fourest, les FEMEN ne peuvent s’attaquer à la publicité, elles en sont, elles en vivent.

Alors, qui sont vraiment ces FEMEN, qui sont leurs sponsors,  qu’elle est vraiment le but de tous cela. Essayons d’analyser de manière objective :

LA LEGENDE DES FEMEN

Récapitulons, les Femensont un groupe féministe, fondé à Kiev en 2008 par Anna Hutsol, Oksana Chatchko et Alexandra Chevchtchenko.

Anna Hutsol, née le 1er juin 1983 à Kiev, est une militante activiste et fondatrice du mouvement Femen. Elle est sociologueet économiste  et à essayer d’avoir une carrière artistique au théatre , c’est Hutsol, qui prend conscience de la nécessité de théâtralisé les actions Femen, afin de leur apporter une forte notoriété, grâce au Buzz ainsi créé.

Anna Hutsol

Oksana Chatchko, née le 31 janvier 1988 en Ukraine, est une militante activiste et fondatrice du mouvement Femen.

oksana chatchko

Alexandra Chevtchenko, née le 24 avril 1988 en Ukraine, est une militante activiste et fondatrice du mouvement Femen, c’est la sœur d’Inna Chevtchenko.

alexandra schevchenko

Les Femen sont internationalement connu pour avoir organisé des actions, essentiellement seins nus, officiellement pour les droits des femmes, mais qui ont été presente surtout sur d’autre sujets, pour la démocratie et contre la corruption, la prostitution ou encore l'influence des religions dans la société.

En cela, on ne peut pas dire que les Femen sont un mouvement féministe, les Femen sont un mouvement Politique.

Les militantes de Femen sont ainsi adeptes volontaires d'un féminisme radical qu'elles appellent  sextrémisme, ce sextrémisme, néologisme anglais, n’est pas une doctrine féministe ou politique, mais plutôt une méthode d’action, qui règlemente les actions publique des Femen, selon les méthodes d’Hutsol qui veut théâtraliser les actions Femen.

Ainsi, selon ces règles, les actions de Femen sont toujours, provocatrices, spectaculaires, et insultantes. Selon Inna Chevchtchenko, il s'agit d'« un nouveau type d'activisme féminin qui est, certes agressif, mais encore non-violent, provocateur mais délivrant un message clair ».

Le mouvement Femen s'affirme antireligieux, et reproche à la laïcité d'être « une façon d'accepter l'inacceptable ». Le mouvement choisit donc une intolérance radicale, envers les religions et les attaquent systématiquement.

Selon la légende Femen,  Anna Hutsol, Oksana Chatchko et Alexandra  Chevchenko, trois adolescentes Ukrainiennes originaires de Khmelnytskyï, se révolte face à la place faites aux femmes dans la société ukrainienne, puis créent Femen lors de leurs études à Kiev.

Anna Hutsol explique avoir lancé son groupe en 2008 pour défendre la démocratie quatre années après la Révolution orange, car elle pense : « L'Ukraine est un pays dominé par des hommes, où les femmes sont passives », d’influence Marxiste-Léniniste, elle dit avoir été influencée par La Femme et le Socialisme (1883), de l'« agitateur » socialiste révolutionnaire allemand August Bebel.

Les Femen, vont alors commencer un combat légitime et juste en Ukraine, reconnaissons-le, pour dénoncer l’importance de la traite des blanches dans les pays de l’Est, la prostitution institutionnalisée en Ukraine, et la pornographie en ligne, elles vont également commencer leurs actions seins nues et/ou déguisées.

 Anna Hutsol déclare qu’elle a, avec Femen,  «  inventée une façon unique de nous exprimer, basée, sur la créativité, le courage, l'humour, l’efficacité, sans hésiter à choquer ». , que « les gens ne s’intéresseraient pas à notre message si nous n’étions pas habillées de cette façon, pour la cause, nous n’avons pas peur de nous mettre seins nus ou de porter des bikinis ».

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Nous ferons remarquer que les actions Femen, sont surtout très agressives, insultantes et absolument pas humoristique. En 2010, Femen à essayer, sans succès de devenir un parti politique.

UN FINANCEMENT OCCULTE ET OPAQUE

Femen compte environ 300 membres, principalement en France, en Allemagne et en Ukraine,

Leur financement est, selon elles, assuré par les activistes, par la vente de produits à l'effigie de Femen, ou par dons privés, mais en réalité, elles sont surtout financé par les dons de l’Allemand Helmut Geier, l’Allemande Beate Schober et l’Américain Jed Sunden.

Helmut Josef Geier, est un milliardaire, né à Munich en Allemagne le 6 septembre 1962, DJ sous le nom de DJ HELL (Dj Enfer en français…), c'est aussi le producteur allemand emblématique de l'electroclash, fondateur du label munichois International Deejay Gigolo Records, il est le leader de la scène techno underground Allemande.

Dj Hell

Beate Schober, est une énigmatique femme d’affaire Allemande, proche des services de renseignement américain et des organes de l’Union Européenne, qui réside depuis 15 ans en Ukraine, ou elle est à la tête d’ABEA, une entreprise Ukrainienne de réinstallation d’entreprise (ou d’aide à la délocalisation en Ukraine).

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Jed Sunden, millionnaire et homme d’affaire Américain, propriétaire du groupe de presse KP Média, qui a des intérêts dans tous les secteurs de la presse ukrainienne, notamment avec quotidien Kyiv Post. Sunden s’est illustré en Ukraine, en Mars 2000, lorsque les autorités Ukrainienne l’ont déclaré persona non grata, car considéré comme un agent de subversion aux ordres de la C.I.A et de la N.S.A, et l’ont interdit de pénétré sur le territoire national Ukrainien.

jed sunden

En septembre 2012, une journaliste d'une télévision ukrainienne, qui a infiltré le mouvement pendant plusieurs semaines, affirme que le groupe serait financé par des représentants des milieux d'affaires européens et américains, tout en reconnaissant n'avoir pas trouvé de preuve suffisante permettant d'étayer ses suppositions.

La journaliste dit avoir découvert que les militantes ukrainiennes seraient payés 1 000 dollars (environ 765 euros) par mois (soit trois fois le salaire moyen ukrainien) et qu'un voyage et les frais d'une opération menée à Paris en 2012 ont été entièrement payés par l'organisation et se chiffreraient à 1300 dollars (environ 1000 euros) par jour et par personne.

La journaliste a également découvert que le loyer que l’association verse pour son bureau de Kiev s’élève à 2500 dollars par mois, alors que le loyer mensuel du bureau parisien se monte à plusieurs milliers d’euros.

En décembre 2013, le député UMP Valérie Boyer s'interrogeant sur leurs motivations profondes, des Femen, elle mentionne en particulier des possibles « subventions et aides en nature, comme le prêt de locaux, accordées par des collectivités locales telles que la Mairie de Paris. »

UNE SECTE FEMEN

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Viktor Sviatski, un ami d’enfance d’Anna Hutsol, a été présenté par le passé comme un consultant politique du groupe, responsable de beaucoup de leurs actions.

Viktor Sviatski est en réalité un idéologue marxiste, d’inspiration Trotskyste qui est à l’origine de l’idéologie Femen, dans le documentaire « L’Ukraine n’est pas un bordel » de la réalisatrice australienne Katy Green, en 2013, celle-ci révèle que Sviatski, loin d'être un simple idéologue, serait même le fondateur du groupe et aurait eu un rôle proche de celui de gourou d'une secte dans l'organisation féministe, Sviatski aurait été celui qui tirait les ficelles dans l’ombre de son ami (ou esclave ?) Anna Hutsol.

Sviatski a déclaré dans le documentaire avoir créé les Femen pour « avoir des filles »et affirme qu'elles lui « plaisaient sexuellement ». Il a ensuite ajouté que « ces filles sont faibles. Elles n'ont aucune force de caractère. Elles n'ont même pas le désir d'être fortes. Elles sont soumises (…) ».

Son comportement au sein des Femen a été comparé par la presse à celui d'un d'un pervers narcissique, il aurait notamment exercé des pressions psychologiques sur les membres du groupe et les aurait traitées de  salopes  et de putes, il aurait de plus forcé les jeunes femmes à se lancer dans une opération risquée en Biélorussie, en janvier 2012, où elles furent rasées et matraquées par la police politique.

Les Femen, venues à l'avant-première du film à Venise, n'ont pas nié le rôle tenu par Viktor Sviatski au sein de l'organisation, dont il n'est, officiellement, plus membre depuis, sauf lors de son agression en aout, puisque toutes les Femen se sont montré extrêmement solidaire envers un homme qui les traites pourtant de « putes soumises »…

Composés volontairement le harem d’un pervers sexuel, en voilà un beau combat féministe…

UN GROUPUSCULE VIOLENT ET ILLEGAL

Les actions  peuvent être légalement contestées, notamment celles relatives à la nudité partielle ,en France par exemple, selon l'article 222-32 du Code pénal, interdit la nudité en public et  peut être punie par la loi d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende, à  Paris, la Préfecture de police considère que « toute tenue qui laisserait entrevoir les parties génitales ou la poitrine constitue une exhibition sexuelle, punissable d'un an d'emprisonnement.

En 2013, un pistolet et une grenade sont découverts au siège des Femen à Kiev, en Ukraine.

 Le 19 février 2014, sur LCI, Caroline Fourest, admiratrice d’Inna Chevchenko, évoque ces actions, et d'autres, dans une interview où elle se montre gênée et réservée dans son soutien au mouvement, elle tente de minimiser mais reconnaît, par exemple, que la leader de Femen en France, Inna Chevtchenko, « marxiste » et « membre des Jeunesses communistes ukrainiennes », « n'est pas une grande démocrate ».

 Elle exprime également son désaccord sur l'opportunité d'une action spectaculaire menée à Notre-Dame de Paris, en février 2013, alors que le pape Benoît XVI venait justement, selon elle, de poser son premier acte s'inscrivant dans la modernité, et exprime sa crainte de voir Femen basculer dans l’action violente.

DES ACTIONS EXTREMEMENT CONTESTABLES

Le 31 mars 2012, des activistes de Femen manifestent en burqa à Paris sur le Parvis des droits de l'homme puis retirent le vêtement jugé infamant afin de se présenter seins nus pour défendre la liberté des femmes musulmanes dans le monde. Durant cette manifestation, Femen, et en particulier Safia Lebdi, affirme aussi son soutien envers Aliaa Magda Elmahdy.

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Inna Chevchenko arrive à Paris le 27 août 2012 et trouve refuge au Lavoir Moderne Parisien, un théâtre qui lui avait promis un hébergement en juillet 2012. Elle affirme également avoir « établi des connexions avec des féministes » avant même son arrivée.

Le 18 septembre de la même année, les militantes de Femen y inaugurent un camp d'entraînement international qui vise à former les activistes aussi bien physiquement qu'intellectuellement en vue des actions. Elles défilent seins nus depuis l'arrêt de métro Château rouge jusqu'à l'entrée du théâtre avec pour mots d'ordre « Go, undress and win » (« Va, déshabille-toi et gagne »), « Muslim let's get naked » (« Musulman, déshabillons-nous ») ou « Femen is a new feminism » (« Femen est un nouveau féminisme »).

Le 15 octobre 2012, les activistes de Femen France se rendent devant le ministère de la Justice afin de dénoncer le verdict du procès des viols collectifs de Fontenay-sous-Bois (dix des quatorze agresseurs présumés ont été acquittés, et quatre d'entre eux sont condamnés à un an de prison). Elles déroulent une grande banderole sur laquelle est inscrit « Rape club » (« Club de viol ») et scandent le slogan « Justice fucks us » (« La justice nous baise »). Éloïse Bouton, membre du mouvement, explique que cette décision de justice est « hallucinante, mais symbolique de la manière dont sont traitées ces affaires », estimant qu'en France, « la victime d'un viol est toujours perçue comme coupable ».

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Le 18 novembre 2012, déguisées en nonnes, les militantes de Femen France interviennent dans une manifestation organisée par l'institut Civitas contre le projet de loi prévoyant le mariage pour tous. elles portent des inscriptions peintes sur le corps « Saint esprit étroit », « Fuck God » (« Baise Dieu »), « Fuck religion » (« Baise la religion »), « Fuck church » (« Baise l'Église »), « In gay we trust » (« Nous croyons en l'homosexualité ») ou« Occupe-toi de ton cul », et ont à la main des extincteurs avec « See the sperm, the Holy sperm » (« Voyez le sperme, le saint sperme ») écrit dessus.

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Le 21 décembre 2012, deux activistes du mouvement Femen France ainsi qu'une activiste ukrainienne et une activiste allemande se rendent à Bruxelles afin de protester contre le venue deVladimir Poutine au Parlement européen, Il s'agit pour elles de s'opposer à toute forme d'accord entre l'Europe et la Russie,le slogan de l'une des militantes « Putin go to hell ! Democracy, democracy » (« Poutine va en enfer ! Démocratie, Démocratie »).

Le 12 février 2013, à la suite de la renonciation du pape Benoît XVI, huit activistes de Femen France investissent, seins nus et couvertes de slogans hostiles au pape, la cathédrale Notre-Dame de Paris afin de faire sonner les cloches (alors exposées à l'occasion de leur restauration),en mars, Inna et Sacha Chevtchenko affirment avoir « emporté un petit bout » de l'or en feuille appliqué sur l'une des cloches pour payer la réparation de « dents cassées », alors que, dans de précédentes déclarations, Inna Chevtchenko avait nié avoir abîmé la cloche.

femen notre dame

Le 3 avril 2013, trois activistes de Femen, deux Françaises et une Tunisienne, ont brûlé un drapeau salafiste devant la Grande Mosquée de Paris, pour Inna Chevchtchenko, la Grande Mosquée est le « lieu symbolique » de la religion musulmane donc, par cette action, Femen entend dénoncer l'extrémisme religieux et exprimer sa solidarité avec la militante tunisienne Amina Tyler.

Le 20 décembre 2013, la chef de file des Femen en France, Eloïse Bouton, mime un avortement dans l'église de la Madeleine à Paris, en déposant devant l'autel un morceau de foie de veau censé représenter un fœtus, avant d'uriner sur les marches de l'autel. Les mots « 344 salopes » sont inscrits sur son ventre, en référence au manifeste des 343 salopes, et les mots « Christmas is aborted » (« Noël est annulé ») sur son dos.

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FEMEN mêne également de nombreuses actions en Ukraine, Belgique, Tunisie mais aussi en Italie et en Russie.

DES LEADERS PARTICULIERS

Safia Lebdi, est une militante féministe laïc antiraciste et une femme politique française d’Europe Écologie les Verts, ancienne cadre de S.O.S racisme, elle est une des fondatrice du collectif Ni Pute, Ni Soumise, avant de se lancer dans des actions de revendications Femen, auquel elle participe également.

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Eloïse Bouton, est une militante française, elle se revendique journaliste et leader des Femen France.

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Inna Chevchenko, on pourrait faire tout un article, sur la muse de Caroline Fourest, Inna Chevchenko est née le 23 juin 1990 à Kherson en Ukraine. Elle a un diplôme de Journaliste de  l'université nationale Taras-Chevtchenko de Kiev.

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Elle est une des Fondatrice, avec sa sœur Alexandra, des FEMEN.

Arrivée en France en août 2012 avec un visa touristique, elle obtient l'asile politique le 9 avril 2013 auprès de l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) qu’elle obtient grâce à sa domiciliation chez Caroline Fourest, alors qu'elle faisait l'objet d'une enquête criminelle par la police de son pays après avoir tronçonné une croix catholique lors d’une manifestation pour protester contre la condamnation des Pussy Riot pour un concert contre Vladimir Poutine dans une cathédrale orthodoxe de Moscou. Cette action a soulevé de très vives protestations en Ukraine, la croix en question ayant été érigée en souvenir des millions de victimes de l'Holodomor (grande famine ukrainienne de 1932 qui fit entre 2 et 5 millions de morts) et des persécutions soviétiques antireligieuses.

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Le 14 juillet 2013, jour de la fête nationale en France, est dévoilé le timbre Marianne de la Jeunesse, dont elle est une des sources d'inspiration, Inna Chevchenko  réagit alors sur Twitter : « Désormais, tous les homophobes, extrémistes, fascistes devront lécher mon cul pour envoyer une lettre ».

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Très présente sur les réseaux sociaux, Inna Shevchenko est accusée d'islamophobie après un tweet diffusé le 9 juillet 2013 : « Qu'est ce qui peut être plus stupide que le Ramadan ? Qu'est ce qui peut être plus laid que cette religion ? ». Elle supprime par la suite le tweet mais assure « l'assumer entièrement ».

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Safia Lebdi, considérée comme la cofondatriceavec Inna Shevchenko de la branche française des Femen, a aidé l'association à installer leur centre de formation au quartier de la Goutte-d'Or à Paris.

Inna Chevchenko combat elle vraiment pour le féminisme ici?

 Enquêter sur les Femen est difficile, est pour cause, on remarque rapidement que ce n’est absolument pas un simple mouvement féministe, ni même un simple mouvement politique, mais que cela est une entité internationale au financement international.

Si certaines activistes sont sincères, il ne fait aucun doutes qu’elles sont manipulés et que la plupart des Femen sont rémunéré pour leurs action, Par qui et Pourquoi ? Voici les vrai questions, et, au vu de la prolifération presque virales des actions FEMEN, nous aurons bientôt les réponses.

 

 

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